« Ça pourrait être le bureau du Président ou d’une personne importante tellement son style masculin et patiné a du cachet, mais non, c’est le mien et je m’y sens bien. M’assoir dans ce fauteuil en cuir, c’est prendre la posture et toujours entrevoir le champs des possibles. J’aime ça. Ça me rend productif. Parfois de manière organisée et parfois non, sans filtre. Mais en tous les cas, libre. Libre de penser, écrire, construire, m’évader.”